Remerciements

Tout d’abord, j’aimerais remercier Milla et Fernando Baracchini et leur fils Gui, car c’est lors d’un dîner chez eux à Ribeirão Preto que m’est venue pour la première fois l’idée d’écrire une histoire avec le Brésil pour toile de fond. Et la merveilleuse Maria Izabel Seabra de Noronha, l’arrière-petite-fille de Heitor da Silva Costa, l’ingénieur et architecte du Christ Rédempteur, qui a si généreusement offert son temps, son savoir, et son documentaire De Braços Abertos (Les Bras grands ouverts). Elle a ensuite minutieusement relu le manuscrit pour vérifier l’exactitude des détails. Cependant, malgré la présence de personnages historiques réels, ce livre est un ouvrage de fiction, et mon portrait de Paul Landowski et de la famille Da Silva Costa est essentiellement le produit de mon imagination. Valeria et Luiz Augusto Ribeiro, pour m’avoir permis d’écrire dans leur fazenda près de Rio – je ne voulais plus en partir –, et surtout Vania et Ivonne Silva, pour le quatre-quarts et bien d’autres choses. Suzanna Perl, ma patiente guide qui m’a fait découvrir Rio et son histoire, Pietro et Eduardo, nos adorables chauffeurs, Carla Ortelli, pour son talent d’organisatrice – rien n’était jamais trop compliqué pour elle –, et Andrea Ferreira, qui me répondait au téléphone chaque fois que j’avais besoin de ses services de traductrice.

J’aimerais aussi remercier mes éditeurs du monde entier pour leur soutien quand j’ai annoncé que j’allais écrire une série de sept livres fondée sur les Sept Sœurs des Pléiades. Particulièrement Jez Trevathan et Catherine Richards, Georg Reuchlein et Claudia Negele, Peter Borland et Judith Curr, Knut Cørvell, Jorid Mathiassen et Pip Hallén.

Valérie Brochand, ma voisine dans le Sud de la France, qui a eu la gentillesse de se rendre au musée Landowski à Boulogne-Billancourt et a pris des centaines de photos, et Adriana Hunter, qui a traduit l’énorme biographie de Landowski et rassemblé les faits importants. David Harber et son équipe, qui m’ont aidé à comprendre le fonctionnement de la sphère armillaire.

Ma mère, Janet, toujours prodigue d’encouragements, ma sœur, Georgia, et son fils Rafe, qui, à neuf ans, a choisi La Rose de minuit comme ouvrage à lire pour l’école ! Rita Kalagate, qui m’a prédit que j’irais au Brésil la veille du jour où j’ai reçu une offre de mon éditeur, et Izabel Latter, qui me cajole et m’écoute me plaindre dans le Norfolk, tout en manipulant doucement un corps douloureux d’avoir parcouru des milliers de kilomètres en avion ou de rester penché sur un manuscrit.

Susan Moss, ma meilleure amie à jamais, et maintenant complice du crime, impliquée dans les secrets du manuscrit. Jacquelyn Heslop, ma « sœur » dans une autre vie, et Olivia Riley, mon assistante personnelle, qui réussit miraculeusement à déchiffrer mes gribouillis et m’a présenté le concept de la sphère armillaire.

C’est par une nuit étoilée, au début du mois de janvier 2013, que l’idée m’est venue pour la première fois d’écrire un roman allégorique à propos de mes sept sœurs mythiques. J’ai convoqué les membres de la famille autour de la cheminée et, au comble de l’excitation, j’ai essayé de leur expliquer mon projet. À leur crédit, ils ne m’ont pas jugée folle – même si j’en avais sûrement l’apparence à ce moment-là. C’est donc à eux que je dois le plus grand remerciement pour ce qui est arrivé depuis. Mon cher époux et agent, Stephen – nous avons fait un voyage extraordinaire l’année dernière au cours duquel nous avons beaucoup appris ensemble. Et mes fantastiques enfants : Harry, qui réalise tous mes merveilleux films ; Leonora, qui a trouvé le premier anagramme – « Pa Salt » ; Kit, ma cadette, qui me fait toujours rire ; et bien sûr, Isabella Rose, mon incroyable « bébé survolté » de dix-huit mois, à qui ce livre est dédié.